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LA VIERGE DES GLACIERS.
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çait alerte et joyeux ; l’air frais et vif des Alpes lui donnait
des forces. Il voyait derrière lui la vallée ‘s’abaisser de plus
en plus, l’horizon s'étendre : là surgissait un pic neigeux; un
autre se montrait ici ; enfin il eut devant lui toute la chaîne
des sommets des Alpes revêtus d’une éclatante blancheur.
Il connaissait toutes les cimes. Il se dirigea vers le Schrec-
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khorn, qui lève dans le ciel son doigt gigantesque poudré de
neige.
Il dépassa les points culminants de la route et s’approcha
des pâturages de'la vallée où s'était passée son enfance. L'air
était léger; ses pensées aussi étaient légères. Montagnes et
vallées resplendissaient de verdure et de fleurs. Le cœur de
Rudy ressentait tous les enivrements de la jeunesse ; les voix
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