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LA VISITE AU MOULIN
« Quels objets superbes tu rapportes là? exclama la vieille
tante: ce sont des choses comme on en voit chez les sei-
pneurs! »
Ses yeux d’aigle brillaient en regardant les pièces d'ar-
genterie. L’émotion faisait osciller bizarrement sa tête bran-
lante.
« La fortune te protége, Rudy, ajouta-t-elle. Il faut que
je t’'embrasse, mon doux enfant. »
Rudy se laissa embrasser, sans paraître y prendre grand
plaisir.
« Mais comme tu es beau, mon garçon! » dit encore la
vieille femme.
— Ne me fourre donc pas de ces idées-là dans la tête, »
répondit Rudy en riant. mais cette fois on voyait qu’il était
content.
« Je te le répète, dit la tante, la fortune te sourit.
— Oui, en cela je te crois. » Il pensait à Babette.
Il était impatient de descendre dans la vallée.
« Ils doivent être de retour, se dit-il à quelque temps de
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