plus goûtés, et les écrivains qui les présen-
tent avec le plus d'art, le plus d’agrémens,
ou le plus d'audace, sont les plus applaudis
et s'emparent de l’opinien = + Dans ces
circonstances -ÉmE rnganelli,
est nl > Ta re. Son
elevat comme le
trio 7x yeux du
sage. <ement des an-
cienne ‘sages consacrés
par ! au mépris des
int cour de Rome,
exT “adroit qui leur
-voteurs de la Tiare
0
emnmi snn, 5.
Dans le mém, à ps Do .
tre, sur le trône de Naples, de grandes qua-
lités et la politique la plus sage. H dirige
sont
ARFT.05 MON-
) À l’avénement de Prx VI. Braschi, les esprits
étoient dans l’effervescence, et ce Pape n’avoit
point la fermeté qu'il falloit pour arrêter les
progrès des paradoxes séduisans de la nouvelle
philosophie. La flexibilité de son esprit, sem-
bloit assurer la tranquillité de son pontificat:
mais son peu de caractère et la foiblesse de sa
politique rendirent son élévation pernicieuse à
l'église et au reste de l'Europe. Il éprouva tou-
tes les disgrâces communes anx âmes foibles,
et passa de l’adoration du conclave à l'abandon
presque général de l'univers.