TA)
ment de fon enrtien ‘eftoit capable
d'inftruire d'avantage que cent le-
çons prifes foubs les plus grand do-
Éteurs du monde. à t'on jamais veu
vne Princefle poffeder la connoiflan-
ce parfaite de neuf où dix langues,
comme elle fait. Si l’hifloire vante
tant la Reyne Elizabet de quoy elle
centretenoit des affaires d’effat en
Françoisavec l’Ambafladeur de Fran-
ce , en Efpagnol avec celluy d'Ef«
pagne , & en Italien avec les Prin-
ces qui venoient d'Italie , quelles
louanges eft ce qu’elle pourra don-
ner à la grande Chriftine , dequoy
elle peut entretenir prefque toutes
les nations de l’Europe en leur pro-
pre langue , Ihiftoire ne parlera jû-
mais fi bien de cette Princeffe qu’el-
le fit de lhiftoire , dont elle à vne
connoiffance admirable , elle à apris
toutes les fciences-qu’on appelle hu-
maines avec tant de perfeétion qu’il
n’y à point d'autheur Latin ny Grec
mefme. les Poëts les plus difficiles
- qu'ellé
üt
veus 61
ge? ce 1°
pilule op "aq
qui pres T
touts . RACTCERE
pot cp : ;c
je À porté J* des
» dont je 13} c
f' able fe !
une incroyäb Le
gite genie & LE
fous l'Empire a
quelle Venus À Le
tille Deefle qui à:
fon perlonnage dazs
corps de certe Prince
fort mal partscce C:
triuent à La besute
(ex elle ef ptite €
Yae enfonceuze ds-,
fait Marcher Ce m:,
lu fire voir CUC ç#
formé efloit Capab'a
_ Pit Balenteri-s
plie eù hard.
san VeUE fe ph,
k; es où lle