obstacle, il y etait (lit,*) qu’on ne devoit jamais abandonner le Schleswig ni se desister des justes
pretentions contre le Danemarc. Le grandduc se ' fit un scrupule de transgresser la volonte de son
pere. Die Bestimmung des Testaments der Kaiserin Catharina, dass der Kaiser solle employer
toutes ses forces, pour remettre le due de Hoistein en possession du Schleswig, stand der Verhand
lung entgegen y eben so ein Plan der Grossfürstin Catharina, der Anhalt - Zerbstischen Familie, die
schon Jever habe, die deutschen Besitzungen nach der Eroberung Schleswigs zu überlassen. Um
den Grossfürsten günstig für den Austausch, bei welchem Dänemark die Schulden Holsteins über
nehmen sollte; zu stimmen, ward die Grösse derselben hervorgehoben. Die Uebernahme der Schulden
oder die Verwendung der dänischen Geldentschädigung zum Schuldenabtrag hatte freilich das Be
denkliche, dass, wenn durch den Tod des Grossfürsten die Erbrechte dem Schwedischen Thronfolger
zufielen, die Zahlung zu dem Besten des Letztem geschehen sein würde.
II (le grand due), schreibt Lynar**) seinem König, peut naturellenient s’attendre a, voir ses
finances arncliorcs par un accomodement avec V. M. et ä sortir de cet embarras, oü l’etat obere de
son pays le plonge continuellement. Je ne crois pas, heisst es in einem andern Schreiben, que le
present, que le grand due a recu, puisse prejudieier ä notre affaire. Ce ne sont, que öO'mille
roubles, qui ont ä peine suffi pour payer ses dettes de jeu et marchandes. Le grand due re<*oit
50 mille roubles par an et comme sa depense va ordinairement plus loin, il s’attend toujours qu’au
bout d’une couple d’annees l’imperatrice lui fournisse une somme pour acquitter ses dettes. Wie
man den Grossfürsten durch die Darstellung der schlechten Holsteinischen Finanzen für den Aus
tauch zu gewinnen suchte, zeigt Lynar's Bemerkung***) : Get ecrit, done je parle, finissoit par repeter
k S. A. I. ce qui lui avoit (L'jii ci-devant etc represent^ k l’egard du deplorable etat de son pays, de
la confusion gönerale, qui y regnoit, et du derangement entier des finances, raaux irrepar. et pressans
qui menacoient d’une ruine totale et certaine, si on ne tächoit d’en sortir par un moyen tel, que
l’etoit l’accommodement propose. — Malheureusement un particnlier de Kiel venoit de lui envoyer
un plan, pour montrer qu’en dix on quinze-ans toutes les dettes pourroient etre acquittces. Pechlin
zeigte vergebens, que dans les demieres .nnnees la depense avoit encore ex cede le revenu de pres
de 50,000 ecus.
Der Oesterreichische Gesandte in Petersburg reichte auf den Wunsch des Russischen Canzlers
ein Memoire ein, par laquelle il insistoit sur le payement de la dette du comte von der Nath —.
Pechlin meinte, que l’unique moyen de vaincre son obstination (des Grossfürsten) seroit de l’intimider
et que pendant que l’imperatrice balance encore ü interposer son aütorite, ce qui finiroit la chose
tout d’un coup, il seroit bon de jeter ce prince dans l’embarras cu reveillant ses creanciers, en insi-
stant sur l’ctablissement d’un Landgericht et en lui suscitant toutes sortes d’affaires, qui pussent lui
rendre la possession du Holstein odicuse. '****)
Lynar behauptete, Hannover suche de se nicher en Holstein, und Hamburg sei geneigt, eine
Anleihe zu geben, f) Der 1751 gemachte Vorschlag des Russischen Grosskanzlers, Dänemark möge
*) In der vor mir liegenden Abschrift dos Testaments findet sich dieser Passus nicht, aber allerdings verweigerte .der
Herzog 1732 für die ihm von Russland ausgewirkte Summe von 1 Million Rthlr. auf Schleswig zu verzichten. Vergl. Lynar
hinterlasscne Schriften, Bd. 1, Hamb. 1793, N. VII, die Lage Schwedens gegen 1749 S. 628 , Lackmann in Falck’s Samml-
zur nähern Kunde otc. Bd. 3, S. 178. 179, und Verzeichniss der Handschriften, Bd. 1, S. 255.
**) Lynar Schriften, Bd. 1, S. 280. 364.
***) Ebend. Bd. 1, S. 465. 466.
****) Ebend. Bd. 1, S. 457. 512. 580.
•f) JEbend. Bd. 1, S. 456. 457. '