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Nation pour les faire Prestres de Cybele, apres les avoir
fait Eunuques.... Sainct H.... n’eust pas debite cette
Histoire, s’il se fust souvenu de ces vers . . (Ovid, Fast. IV,
362/7). Vous diriez qu’ Ovide par un esprit de divination,
et prevoyant que H. prendroit l’un pour l’autre, a fait ces
vers tout expres, pour empescher qu’il ne se mesprist. Neant-
moins, ... il s’est esgare en beau cheinin et quoy qu’il ne
manquast pas de guide. Tirons de l’instruction de cette
remarque, et n’en prenons point de vanite. Reconnoissons
avec beaucoup de respect pour la personne de H., qu’il n’y
a point de force qui ne soit accompagnee de faiblesse, point
de Science qui ne soit meslee d’erreur. Consolons-nous en
cette rencontre, mais ne triomphons point de cet exemple...
Pour une legere beveue, pour un petit equivoque, Sainct H.
ne doit point perdre son rang, parni ceux qui ont veü plus
clair que les autres.“ Immerhin doch etwas Anerkennung!
Es wird Bezug genommen auf:
1) Vita Sanctae Paulae, cap. I (ed. Migne t. II, p. 204) —
a II 577 und b 757, wo B. bemerkt, daß H. in seinen
Schriften manche seltsame Behauptungen in Bezug auf
Genealogie aufgestellt habe. Es heißt dort: ,,C'est un
grand debiteur de fausse monnoye, et en pareille matiere
que cette-cy, ne fait-il pas descendre sa Sht Paule d’Aga-
memnon. Hoc certe ferendum non est, et ces endrois
fabuleux font douter de la veritö du reste.“
2) Defensio virginitatis, contra Jovinianum lib. II (t. II, p. 306)
— a II 97 über die Sibyllen (s. auch a II 36/9).
3) Adversus Vigilantium — a II 332.
4) Apologia contra Rufinum — a I 789 mit der Bemerkung,
daß es in derselben auch manche weniger schöne und
kräftige Stellen gebe.
5) Hier, ad Eustochium — a II 372 und b 756, wo B. sagt:
„il me semble aussi bien qu’un docteur de Rotterdam
(= Erasmus) que les Anges fouetterent H. tres injustement“
vgl. auch a II 2 92 die Worte B.’s: „H. legebat libentissime
Plauti fabulas.“
Genannt wird H. noch: a I 259, a II 256, 267, 365, 699.