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1 e ferme de tous les infinitifs quoique le mot suivant ne commen-
gät point par une voyelle. C’est pousser f affectation un peu trop
loin.“ — In ähnlichen Worten äußern sich Restant (1730), Boulliette
(1760), Domergue (1805). Es sei noch gestattet, des letzteren
Bemerkung hier anzuführen: „aimer, danger et tous les mots en
e oü r final est nul, exigent qu’on les prononce ä la liaison, mais
sans denaturer l’e, qui doit rester aigu. II n’est que trop ordinaire
d'entendre dire aimer, un danger imminent. Laharpe, dont la
prononciation d'ailleurs etoit pure, ne s’etoit pas garanti de cette
faute.“ — Trotz des heftigen Widerstrebens der Grammatiker hat
sich die Aussprache -^r auch im 19. s. und bis auf die jüngste
Zeit in der gehobenen Sprache und im Verse behauptet. Mme
Dupuis (1836) verlangt die Aussprache $r in der gehobenen Sprache
und im Verse: „Dans le discours soutenu, et surtout dans les vers,
l’r finale des infinitifs en -er peut tr6s bien se Her avec la
voyelle d’un mot suivant; l’e qui prec£de prend alors le son
ouvert (p. 195).“