Die Urteile Boileaus über die Dichter seiner Zeit

Petersen, Karl

Bibliographic data

Monograph

URN:: urn:nbn:de:gbv:8:2-5826294

Persistent identifier:: PPN1004981287

Title:: Die Urteile Boileaus über die Dichter seiner Zeit

Signature:: TUKI 06082

Author:: Petersen, Karl

Document type:: Monograph

Publisher:: Jensen

Year of publication:: 1906

Place of publication:: Kiel

Language:: German

Collection:: Romance studies; Kiel University Papers

Comment:: Boileau Despréaux; Zeitgenossen; Hochschulschrift

Scope:: 192 S.

Format/dimension (source):: 8°

Physical location:: Universitätsbibliothek Kiel

163 28 ) Diese haben indessen auch manche Bewunderer gefunden. So fand sogar Sainte-Beuve Gefallen daran: »Ce qui est remarquable et rdellement distingue dans les romans de Mlle de Scudery; ce sont les conversations qui s’y tiennent, et pour lesquelles eile avait un talent singulier, une vraie vocation.« Causerie du Lundi. Bd. 4. 29 ) Vgl. § 9. 80 ) Mit dem Namen Sapho bezeichnete Mlle de Scudery in rührender Bescheidenheit sich selbst. 30 a) Vgl. C161ie part. II, S. 348. 81 ) Vgl. Art podt. III, V. 100. »N’allez pas d’un Cyrus nous faire un Artamdne.« 82 ) La Societe frangaise au XVII e siede (Introduction). 35 ) Mandane ist in der Geschichte der Name der Mutter des Cyrus. 34 ) Vgl. § 35. 36 ) Non sans doute, Mlle de Scudery n’a point fiddlement representd le Cyrus de l’histoire, mais de gräce, prenez garde quelle n’y a jamais songe. Au lieu du Cyrus de la Bible, d’Herodote et de Xdnophon, qu'elle ne connaissait gudre, eile a peint le Cyrus qu eile avait sous ses yeux, le hdros qui dblouissait son sidcle de 1 dclat de ses victoires — — ] e Cyrus-lä est le prince de Conde en sa brillante jeunesse — Mlle de Scudery l a peint tel qu il dtait ä la fleur de son äge et pour ainsi dire de sa gloire Mandane est certainement la duchesse de Longueville. Comment B. ne 1 a-t-il pas reconnu ?« La Societe fran gaise au XVII® sidcle. Introduction. 86 ) Et ici, n’en ddplaise ä B., qui ne savait rien des hommes et des choses du milieu du XVII e sidcle. Mlle de Scuddry n avait pas hesoin de beaucoup inventer, et eile a pu puiser abondamment dans l’histoire. II faut avertir seulement que le tendre et amoureux Cyrus, qui choque tant B. n’est pas M. Ie Prince, mais le duc d Enghien que l’auteur des Satyrs n’a point connu.« ibid. S. 80. 37 ) Vgl. ibid. — S8 ) Vgl. Gidel: Vie de Boileau, S. CXXVIII. 89 ) Vgl. Demogeot Chap. V, S. 293. i0 ) B. hatte wohl in dem Brutus abschreckende Vorbilder dieser Art vor Augen, wenn er die allgemeine Hegel aufstellte. Art poet. III, 103. »Des Heros de Romans fuyez les petitesses.« «a) Vgl. Clelie, part. 1, S. 398. 41 ) Discours sur le Dial. »Les Hdros de Romans.« 42 ) Lotheissen Bd. III, S. 79. - 4S ) Vom 7. Januar 1703. 44 ) Das Wort »bourgois« darf nicht im gegenwärtigen Sinne auf gefaßt werden. 46 ) V. Fournel: La Littdrature independante du XVII® sidcle. Roman chevaleresque et podtique, S. 168, 169. 46 ) Hier irrt sich Fournel. Die Zeit ist ungefähr die gleiche. 47 ) Vgl. Victor Cousin: La Soc. fr. au XVII® sidcle. Introduction und Lotheissen III, S. 78. 47a) Cldlie part. I, S. 399 u. 400. — ,s ) Vgl. § 26. 11*

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